La Journée de Défense Citoyenne
Question-réponse
Comment alerter la police ou la gendarmerie en cas d'urgence ?
Vérifié le 23/12/2021 – Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
<span class="miseenevidence">En cas d'urgence</span>, et uniquement dans cette situation, il est possible d'alerter la police ou la gendarmerie par appel téléphonique, ou par SMS, si vous êtes dans l'incapacité de parler.
- Par téléphone
- Vous ne pouvez pas téléphoner
En cas d'urgence, lorsqu'une intervention rapide est nécessaire, vous pouvez appeler la police-secours. Composez le <span class="miseenevidence">17</span>.
Vous pouvez également contacter le <span class="miseenevidence">112</span>.
Où s’adresser ?
Par téléphone
Composez le <span class="miseenevidence">17</span> en cas d'urgence concernant un accident de la route, un trouble à l'ordre public ou une infraction pénale. Une équipe de policiers ou de gendarmes se rendra sur les lieux.
Vous pouvez aussi composer le <span class="miseenevidence">112</span>.
Si la situation ne relève pas d'une urgence, composez le numéro de votre commissariat ou de votre brigade de gendarmerie.
<span class="miseenevidence">112</span>
Numéro d'urgence à utiliser pour un appel depuis un pays européen ou depuis un téléphone mobile
24h/24h et 7j/7
Appel gratuit
Le 114 est le service relais des appels d'urgence si vous êtes dans l'impossibilité de parler au téléphone (sourds, malentendants …) ou si cela risque de vous mettre en danger.
Où s’adresser ?
Par SMS au 114
Accessible gratuitement 24h/24, 7 jours/7
Par l'application mobile urgence 114 ou le site internet www.urgence114.fr
Accessible gratuitement 24h/24, 7 jours/7
Contact possible via :
- Visiophonie : Je communique en langue des signes
- Tchat : Je communique par écrit
- Voix / Retour texte : Je parle et le 114 me répond par écrit (ou l'inverse)
Si la situation ne relève pas d'une urgence, composez le numéro de votre commissariat de police ou de votre brigade de gendarmerie.
Où s’adresser ?
Il est important de savoir que le fait de lancer une fausse alerte auprès de la police, en faisant croire à une prise d'otage par exemple, est un <a href="https://www.quintin.fr/la-journee-de-defense-citoyenne/?xml=R49229">délit</a>.
Ce délit peut être puni d'une peine allant jusqu'à <span class="valeur">2</span> ans de prison et <span class="valeur">30 000 €</span> d'amende.
-
Délit de fausse alerte
Pour en savoir plus
-
Ministère chargé de l'intérieur
©
Direction de l’information légale et administrative
comarquage developpé par baseo.io